samedi 31 décembre 2016

entre Gog et Magog: abscons



L'aether individuel sur le chemin du Retour

Mais ton dieu te guide à travers affres et malheurs au milieu de l'abime. Vers ton Septentrion: l'Orient de ton être. Vers l'être de ta gnose. 

C'est au sein de la Vierge que tu bois le céleste nectar de son lait d'eau vive. Assis enfin sur le corps du demain. A cheval entre le très laid et le beau noble.

Franchement ce Monde n'est plus et déjà il vit sous un Ciel nouveau dans une aptitude de dédain, hautain dans un Paradis d'humbles amis du Roi.

Car le Christ méprise l'inélégant. Et ne reviendra que pour pulvériser la vanité de tous ces Livres Saints: bons seulement pour fabriquer des clones d'incapacité!

C'est Lui l'eschelle de Jacob, son Rayon. La Foudre qui t'a rendu insolent, fou et autre chose que mortelle bêtise.

Là, en bas. Laissez-les se battre. Se mordre les tétons! Qu'ils vénèrent leur anomalie de divinité. Leur arrogante colosse issue de leurs propres reins malades. De leur chair bonne pour les vers et les mouches des marécages infestés de pusillanimité.  Pleine de logique et de la RAISON bien étiquetés et repartis en autant de bites transistorisés!


Beyond Gog and Magog





There are indeed, multiple gods as well as the diverse activities which are nothing but the inevitable proof of their creative actions taking on some outward comprehensible physical formation. Great bodies in the making. Between here and there. There is definitely another other, than one unique god!

Because in the beginning among many of those who came from the eternal and infinite ether, the great big indefinite dimension, containing in seed all sorts of dimension, needed to install Time and Space and the degradation that goes with it, in the minds of those silly enough to believe hypnotically! 

Yet one eternal visage emanates from the abyss. One god among many. All divided amongst themselves perpetually at combat with another's fear and pride! Debating at the hands of fate, what is betoken to finitude's hegemony.

***

Four sacred races going down the drain. All of them precipitated into an unsacred hotch potch! 

...down the drain the archetypes
of all and sundry,
down under into some odd mixture
blind and deaf and dumb

disappearing finally
within
the Aether that had made them all!

What a divine opportunity, to break those stones where there was no hard earned will accomplished. An immense joy awaits those gods knowing when to die how and what for. Eternally awaiting the lightning moment. 

I will build me a house and within it, I will establish my order. Here within my Home, no demiurges of the vile ungodly democratic kind will be able to say what I or an other should think or do: because no one shall know my invisible Name hidden to all, who are unfathomably profane. Blasphemous! 

My Home will be in the Holy Aether.

To rebuild the Holy Cross with no miscegenation! At each arm's length the strength of each royal race within the grasp of pristine and proud hands. Each at their assigned place in the Great Nothingness. Maintaining Sacred Order. No vulgar fear of New World Orders.

Each ruled by their own true god!

Nothing to be bought or sold in this place. No Law come from Jehovah nor some obscure black magician! ...thriving in another people's blood because some uncelestial lunatic come from the infamous bottomless pit said so...said it was holy to take another people's land. To kill them and put in their living space a Temple to honor some horrific and sick fiend.

*****

With hope this World will collide with others. And a true and harmonious soul be birthed from it. For the gates that held back the fury of those who have suffered the underworld tyranny, are now taking the sword of the long awaited justice which this mundane space has since time immemorial frustrated!

Enough! 

The Sons of God shall be redeemed. The Wasteland left to those who squalor in it, admiring their own desperate filth.









jeudi 29 décembre 2016

Αρχη-ειϰον,το Αιθερεκον



Certes cela trouble les fantasies de ceux qui s'estiment raisonnables, lucides et pleins de tact sémantique. Adroits qu'ils sont dans la manipe des mots. Mots issus de la gélatine de leurs crânes! 

& le Bon Dieu l'a mis sur papier par écrit! Rien que pour sauver de la détresse, l'humanité d'une seule race, et son précieux avenir du pot-pourri?

"J'émane des couloirs de l'Aether. Alors que je siège dans les hauteurs loin et à l'abris de l'importunité désobligeante! Un danger pour moi-même quand je voudrais poser ou reposer mes pieds célestes sur l'escabeau qui est mien. Me donner en pâture rien que pour flatter la vanité des vicieux?

Oui, je suis effectivement suffisamment idiot comme Bon Dieu. Car Dieu est amour. C'est à dire une concrète stupidité incarnée!"

Ah pour le vent dans les cheveux et l'accent distinctif sur les intonations superbes.

Dieu ne nait nulle part si ce n'est dans la caverne des coeurs de ceux qui sont de notre élite, et Il meurt sur la croix quand à chaque fois un de ses temples vivants quitte la terre! 

Car enfin l'ange c'est nous, dieu c'est nous, le royaume céleste nôtre, quand nous mourrons à nous mêmes et au prétendu futur des organismes de demain!


Cela se passe en nous comme dans un récipient clos,
hermétiquement scellé.







lundi 19 décembre 2016

L'Immortel Céleste dans le Foutoir



Indemne et implacable, imprenable sommité discrètement transcendant. Le ton idéal qui provient des astres, descend, se distend, se retire et s'enfouit au coeur du tracas, et le vacarme d'Indra frappera le sol coiffé de vermillon. Dans une étable l'enfant roi sera né, vêtu de nitrate et de tartre transmué.


Le Principe de l'Être veille sur les siens
comme sur ses guidés.

Tandis que le monde et l'hypnose qui lui revient se renvoient la balle, l'individu naturel, ontologiquement conçu passe comme une ombre chez lui tel le fennec, parmi des spectres organiques, leurs yeux rivés sur ce, qu'on leur eût implanté entre le nerf optique et le cortex plasmide: de multiples pixels conjugués de polyèdres et de carrés de la plus haute Goëtie!

Quelle gloire il y en a-t-il, de parvenir à l'apothéose du summum, de faire vivre le mensonge grâce à la vitalité et seulement grâce à elle, qu'on pût extraire de chaque organisme mortel et bref, sans qu'on se rebelle le moindre contre l'illusion imposée et que chacun perpétue avec le respire de son propre souffle interne, sans amertume sans remords sans enfin le sentir d'être?

&&&

Mais mon ami....on en rigole. On éclate de rire, comme un cynique déchet. 

Le soleil touche le fond de la casserole. Et à Noel encore une fois another one will bite the dust! 

Jésus.

Mais tu es sensé ne pas exister!






mercredi 14 décembre 2016

Mens Agitat Molem et Magno Se Corpore Miscet



Ô que cela à force s'abêtisse! Et d'en bas se voie si mal. Les yeux recouverts de brumes, à base de polymères made in France. Des pixels plasmides! Des sauts d'humeur binômes en qubits exponentiels. Reconduits à l'indéfini à Epinay sur Seine.

Mais la joie y reste en dépit du tout. Nous attendons le retour des étourneaux. Et évidement le droit du passage qui nous revient de d...

DDP dans un champ d'épis à côté d'un terrain en friche sur l'Isle des Juifs. Clef à Molette en main stupéfait devant la Seine avec Jacques en sauce de civet!

Un expert descend du Grand Ciel qui surplombe l'abysse. Et Satan couche avec le laïc, ce n'est pas grave. Moquerie sur moqueries dans un labyrinthe chez Radamanthe. Flux de morts, morts qui dévalent dans des flux et reflux interminables à travers des siècles en siècles ad eternum ecclesiastae.


+*+

Avoir une âme à soi tout seul, ce n'est pas si facile pour la plus grande partie du MONDE. 

D'ailleurs, on l'a eue dès le départ ou ne l'aura jamais. Sinon faudrait aller en église pour remonter sa vanité. En plus de l'absence de l'étincelle sortie tout droit de la bouche du ROUACH.


la résurrection du Héros




mercredi 7 décembre 2016

In Aeternum Misericordia Ejus!




...dont le coeur reste et persiste dans la vacarme des idioties matérielles je ne résiderai jamais. Ni aujourd'hui ni demain ni dans l'éternité! Et ma Pitié ne saurait prendre en compte l'hypocrite.

Je ne marchande pas et ne suis ni arabe ni juif ni chrétien ni non plus bouddhiste...je ne suis pas plus près d'un hindou que de l'Empire State Building.  

L'univers est ma piédestal. Le reflet de l'être vivant incarne mon souffle immatériel. J'ai pour nom, l'Immortel.

Je veille sur le renard et le rat. Mon Esprit Très Saint anime avec ma Toute Puissance Infinie la matrice des bestioles. Je dance discrètement dans les ruisseaux inconnus  coteaux discrets et me dérobe à l'impudeur des citadins à me cacher sous les feuillages que de dessous des pas inconscients, humains trop humains, garde indemne sa vierge pureté!

Pour l'humanité bien pensante, Je suis le malheur,...une énorme calamité pour le prétentieux à table devant la futilité de ses arrogances. L'or et l'argent je méprise. Tout ce qui ne possède pas d'âme, je délaisse. Quelque part déjà je le néglige comme quand on m'avait abandonné sur Golgotha.

Ma Compassion est pour les miens. Ceux qui ne m'appartient point, ne me regardent pas. Comme Shiva je piétine ce qui reste de leur vanités, ...

...ils sont poussière...des particules de programme dissociés, écrasées sous mes pieds.




mardi 6 décembre 2016

Poimandrès




Te voici enfin! débarrassé hélas pour tous ceux qui sont encore redevables envers la vanité du Prince de ce Monde, et de toi-même et des tiens! Un être pur, honnête et du nouveau puisatier des eaux du Ciel. Zam Zam.

Je t'ai extrait de la mélasse des ennuis de l'appétence: tu es à présent sans coiffe. Et c'est ton Dieu qui te dicte la voie. 

Que je suis heureux d'avoir quitté la compagnie des harlots! De me vêtir de mon immortel voile et de transmigrer au sein de l'abime des luminescences vitales. 

Dieu ne m'accable plus, car je suis à Lui dans l'Eternité, où nul personage ne persiste accoutré des démences dont les fils à retordre ne pussent plus flatter ni démons ivres de flatulence, ni ange déchu et vain.

  





dimanche 4 décembre 2016

In Te Domine Speravi !



Outre que cela revient au même, et que tout un chacun qui s'y connaisse, sache y retrouver la griffe ou marque ou sceau de Saturne, c'est de dire son carré magique....j'ose dire qu'il s'agisse de toute autre chose que de la vulgaire goëtie!

...non confundar in aeternum.

Le tremplin du Seigneur a été nettoyé, l'homme de sa vulgarité a été dépouillé. Il ne reste que le cadavre sans vanité et la poussière qui glisse d'entre les doigts des spectres.

Un coeur pur sans espérance aucune. Aucune attente dans le lendemain, cependant l'on sème la graine des demain dans l'espoir de ne rien récolter si ce n'est l'affection avec laquelle nous sommes nés.


Le Ciel Invisible dans toute sa splendeur est la demeure de l'Archétype Géomètre qui attend l'épure idéale! Y a-t-il un coeur vide et nu où le règne du Grand Satan n'a pas de prise?

Chérit-on davantage, les pensées sectaires, les idées clichées et les platitudes métaphysiques qui nous meublent la vaste Matrice de bêtises? 

Dieu, perfore la supercherie. Réduit en nano-miettes la gloire du Monde! Il piétine l'immense égarement de l'âme et c'est Lui Seul qui revendiquera le statut de l'Innocence. A Lui le droit du regard sur le Vide et son insondable perpétuité!


D'abord le signe de la croix puis la croix qui se fiche dans le coeur évidé. Il t'adresse de ton nom secret, que Lui Seul prononce. En toi Il prend racine. C'est avec toi seul qu'Il communie: 

Celui qui t'aimera je l'aimerai
mais celui qui ne t'aimeras pas
 c'est lui que je n'aimerai point.

Dans l'être noble vit l'immortelle symétrie.