mardi 10 mai 2016

OLD MAN


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Installation hominide, charnelle munie d’un démarreur;
Et l’influx céleste y vient insuffler la vacuité de sa masse!
Il a été prédestiné dès son inception conceptuelle à la décrépitude fissionelle alors que des daemons du ciel inférieur le construisirent sur le dessous du Firmament.
Tu n’es ni une construction tirée de poussière, ni l’astrale constellation qui l’a vu naître. …je chevauche la marée, l’onde de l’Âme du Monde gaine mes cheveux d’éther! Mon âme d’aryen fier dans sa descente, prend en horreur la Fosse Béante du Jérusalem!
Quelle abomination que du MISERERE qui répugne à l’esprit libre pur et hautain! Quel lieu d’esclavage et de victiminité du castrat. Ô quelle honte quelle insulte minable proférée envers le DIEU qui est mien.
                                                    *
Je me suis trahis!…je me suis épris d’une terre pétrifiée. Et la source polaire de mes aïeux n’y sourde point. C’est un pays ingrat, de conflits de ronces d’épines et de glaise imbibée du sang de l’innocent tourmenté, harcelé. Un fils de Sem y pollue avec sa jalousie l’absence et le manque d’immortel idéal.
                                                   *                *
…je survole la monstruosité incarcérale qui se répand du jour en jour au milieu du berceau de la haine. C’était le vieil homme plein de vermisseaux rempli de la Bonne Parole.
En parcourant les intraduisibles coulisses ou corridors et salles où autre fois la préfiguration des préjugés d’un Tyran de Mésopotamie s’y dessinaient dans mes plus intimes ligaments, on a enfin assassiné le moi d’antan que moi-même et les autres prenaient pour moi.
Les pastures arides et zones industrielles taguées s’égrènent. Viles et méprisables à mépriser comme toutes les Momies d’Egypte!
Hiram est mort et que cela soit très bien fait pour lui! Le vieillard pourrira, je l’espère dans le caveau accompagné des cafards et du rat et des dépouilles d’hommes qui préférèrent les honneurs et les grades à la place de la Droiture du Noble.
***
hs
Le Dieu Horus/Set règne sur les ténèbres, comme un Oeil unique et ailé il perscrute l’Infini et ses corps du demain. 


samedi 7 mai 2016

Circles of Madmen


Of course now, the diseased malingered soul has managed to devour all the seven climats that cover our round Earth. In spite of the organic distances between the natural proclivity of different peoples, each climatic mind set living in its own time and zodiacal space, embracing all nature of socially balanced men, is now disintegrate.
Everywhere, to be a death mask is almost absolutely the norm.
But this is a world of garbage culture which must be digested excreted and thus then destroyed. That a new refashioned noble creature inspired by the supernal heavens, redeem what is worthy in the left over dross, melting together the vulgar metals with their original earth, unsmelting in a reverse kind of manner, making what was killed, resurrected and alive. A seeing knowing soul, who would « feel » the ethereal air through stellar nostrils! Drinking celestial waters.
An aeon is a separated Circle, separated from other circles where what is within is immortal outside, and the Abysmal Undivided Self wanders in the circles of madmen, where they robotically congregate! Unbeknownst to the great unconscious assembly, their time strikes itself out. What is clever is programmed. What is done is predestined.
Even though they somnambulate, and to them all primordial and normal men are invisible, or if not, persecuted, Satan scrutinizes, strategically recognizes what is against his sleep walking creation!
He sees the true man and understands how to torment what is good, belittling the innocent and making flourish what is unkind and awful!
The high and conceited prince of this our earthly circle, be it in the astral or physical regions, feeds on the despair of the innocent, or on those who repent their past stupidity, hoping that with unreconciled sadness, his deleterious offspring might continue to thrive and propagate!
Its not so much he’d hurt or harm through his begotten, but to what extent he invades the inner soul with ponderous villainousness. Pushing down with all his hatred against the normal mind. Seeking its oblivion!
Still, the Undivided SIMPLE Self abides, enjoying the company of his own in wild places till the circle be broken there where bad men were loitering.
hitlerdeer

mercredi 4 mai 2016

Pilgrim Standing Still


the beginning

In the wake of all frowning he persists enamoured

Watching the human tide ebb and flow:

Was it just yesterday

You sadly went your proud way, stubborn as an ass?

Carrying on your back the darkest incision on your trodden heart.

It melted in your heavy chest, forlorn, distraught.

It made the noise of cowardly scum bags laughing and mocking at naive and simple souls.

***

There is plenty of loneliness to be put up with! …looking at the thrilled idiocy of which there are so many who clamor the mediocre man’s benefits.

flagellation
the fourth way

What is left of you?…once the mean blow hits, once the cheating and lying spirit on this side subsides at the doorway?

A soul, by God! Nothing more.

Infinite without any inward boundaries, a cracking in the wall, a heart struck with awe!

Throughout the surrounding atmosphere, your internal wayward reckless manner has thrust open, thanks to an unheard of special acumen, the boulder to the side. The which closed tight, kept shut your corporal sepulcher.

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a soul


Pèlerin d'un Pas en Boucle






















Né dans le Monde sous la conjugaison computée des astres tyrans, qui dans une perpétuelle dérive dérogent, un chevreau dans la marmite!
Royaume déchu des sorcières mégères et de l’esprit cocu. Qui sous l’emprise prédestinée de leur sang mêlé au complexe microbien, paradent en transit vers l’abîme exhumé,
Sont mis en transe et écartés du Vide lucide,                                déchoient encore en boucle:
Paon d’un jour, rôti au soir.
Et il est toujours, que mon Dieu me protège.

mardi 3 mai 2016

Anthropoïde



Toujours frustre. Et moqueur. N'ayant aucun égard pour autrui, mais un visage d'homme le vêtit. Sans empathie, et toujours humanitaire. Il manque du discernement car voyez-vous il a été conçu pour le pur néant des appétits inassouvis: que cela soit pour l'alcool le sexe le gain ou la vanité de se voir admirer par un autre comme dans un miroir d'opportunité intéressée! Qui le voit, et par quel moyen cela se voit et comment? Si lui-même ne voit jamais, qui voit donc ce panorama de hantise où sang et muscle il paraît, vit? 

Une gueule au cerveau collectif. Flux et reflux, marée d'égoïté quand en fait, aucune conscience ne voie! Complexe moléculaire et combinaison fortuite qui évolue? 

Alors que ceux-là régalent la surface de cette terre, qui ne sont que l'habit de tissu qui se porte, composé d'atomes de quarks...de gluons.

                                                            
Et pour cela on a construit la religion, la philosophie et l'état sécuritaire. L'histoire est bien un récit, qui se renvoie comme une balle, entre la semblance de l'être et l'ombre de sa désolation mécanique: anthropoïde.

Réellement toute vanité pour rien lui vaut comme titre d'appellation. Pourtant il n'y est pour rien, alors qu'il n'y est pas. N'a pas été, et ne peut donc jamais disparaître. 

Soit vous regardez avec vos yeux de chair, ou bien donc, ce serait des yeux de quelqu'n qui à travers âge et époque conçoit l'anomalie avec son âme voyante et immortelle. 

Ou bien vous voyez vous-même, ou sinon ce n'est qu'artifice construe dans l'organique élaboré dans un cercle où c'est π et φ qui incarcère, détermine et enchaine!


Il est vrai que dans la dissolution des éléments, l'âme véritable voit catastrophe et rideau du feu. Mais ce n'est rien. C'est ton regard primordial dépouillé du corps qui te porte garant, une locale sans parois pleine de vide qui assure l'immortel sens des êtres.