dimanche 31 janvier 2016

Jamais tu n'y as renoncé




Certainement qu'au départ il n'y avait que le Grand Néant!
Puis l'oeil qui désire voir avec désespoir par le trou de l'aiguille son propre rien hissé tout en haut de l'arbre du Néant.
Et c'est le néant qui regarde le Néant boire sa sève ambre et rutilante. Une flammèche à peine qui s'allume alors que des rafales d'air froid abusent de sa microcosmique ampleur. La vaste chambre de Midgard est sa clôture rupestre citadine et rude et brutale. Il n'y avait pas de dieu qui vaille ni qui vive. Ni eaux ni firmament. Ni non plus de Moïse, adorateur du Feu et esclave de la première personne au temps futur de son moi tyrannique.
Tu vis là, et de toute ta longueur tu dors, amoureux du songe et des fées, le chef appuyé contre un caillou cimmérien de provenance céleste. Les yeux clos abusés de la langueur qui ramollit la raideur de ta foudre qui rampe et qui rompt au sol comme dans le subtil des cieux.
"Je respire à plein poumons mais doucement, l'aether émeraude de ma patrie lointaine. Il me manque et son souvenir me mord sans répit, les entrailles me percent de douleur, mes côtes me font mal.
Il est vrai que le sel de sa terre et le sâdhâna inappris colludent avec la complicité de ma paresse du passé, et la perte de mon intangible creux béant  : ô pour la sottise de l'amour ignare, la puissance qui gonfle la poitrine naïf, la clameur dans la tête, la tristesse que nous apportions vers nos bides inassouvis, et que nous déversâmes sans hésiter dans le Grand Puits de Mime."

D'abord c'est l'esprit-intellect qui descend sur toi, sur la vie de ton néant, puis ensuite l'âme de l'intellect y met du sien dans les cuivres! Tu n'es que terre sublime et raffinée, humide et dans l'attente.
"Qui suis-je? Terre moite, dans le sommeil loin de son éveil. Oeil qui attend éclore."
Fils du serpent et de l'Ange unis : Aryen.
phanès 1
Tu es l'Irminsul : une preuve ontologique pleine du sang, irruption plastique et anomalie qui affirme l'unicité de l'Unité de l'Inexistant Tout.
Ses ennemis, ce sont ses frères. A se taper dessus comme des malades du fiel. La bile noire contre bile jaune. Vanité contre vanité. Crépuscule des Puissances.
Une poupée dans une poupée dans une poupée hélas. Le va et le vient de l'immense inabordable vortex. La Double Spirale. Oculus de deo in corpore magnus serpens!











vendredi 29 janvier 2016

A Tunhvall du côté de Vanaheim dans l'Asgard


Vanes dans leurs vaisseaux d'air traversent le ciel avec le vent et la pluie. A Tunhval le sein d'une Valkyrie se gonfle du miel et du lait devant ma celte pudeur.

Chaque Ase porte son propre oeil pour lui-même et parmi ses frères l'unicité heureusement les désunit. Il hait toute collectivité à part échanges conviviaux si ce n'est pour partager un canon, fuyant comme un renard la foule indistincte ou l'esprit du commun, et pour autant il n'y a aucune condescendance qui habite son coeur de magnifique aether. Leur amour fraternel est métaphysique, il regarde du haut avec dédain Toute Consensualité! Il n'y a pas assez de place pour passer à 2 ou 3 ou 4 par le couloir étroit du grand secret, pas assez de place pour toi et un autre plein de langage par ce trou d'aiguille, car chacun est un dieu la taille d'un chameau d'Orient, qui ne saurait entamer la radiante élasticité de 2 ou 3 ou 4 "unicités" : on y arbore l'identité suprême frappant comme foudre, et l'infini où parfois nous faisons des excursions par la porte étroite du coeur, devers des roues de destin fortuite, assure la folie légitime de notre Retour Eternel au sein de ce Vide.

L'Ase a horreur de l'ambiguïté, et même s'il ne tient que sur un seul pied comme un cul-de-jatte né, il profère le rite de son moi sur un autel à lui dans l'enclos élevé, contre torrents et tumultes c'est un roc "homo"gène! 

Le soleil noir est notre nimbe,
nous avons avalé le V.I.T.R.I.O.L.






Le Rouet Tisserand et le Retour dans l'Oubli






Retour sur retour engendré par la médisance qui se refrène au bord
des lèvres injustes, inoccupées d'une présence attentive
en retard sur elle-même aux affres de Tartare.

Quoi que tu fasses, l'abime te poursuit et injure le souvenir de tes Aïeux
la fatuité de la candeur, l'espoir d'honorer la couronne des Pères.

Mais la fantôme Matrone, si amère, acariâtre si sotte! perpétue
la si Grande Sottise de sa pudique concupiscence.
Jalouse des vivants célestes, elle plombe les ailes des Braves!

Hélas, l'âme de renaître et d'armer encore d'autres ossements
se recouvrir de chair, se rendre prisonnière de l'enclos suicidaire,
et du sang et de la bile avec ses viscères, la terre gloutonne
Avide de purulence de putréfaction et de l'usure de l'aether sublime
incarcère aux confins d'une bulle gigantesque en érosion, l'innocent.

Mais étant un et unique, pérenne comme du diamant, réfractaire
même au fond brut où l'air tremble de couardise
Mon Oeil voit scrute perfore les barreaux étanches des parois
faites de mains d'homme et de djinns assistés;
Leur arrogant édifice bâti de paille totalitaire
et volatile en son grain, se perd s'évapore.

La roue qui tisse, notre chère Lune au haut du dôme
attend impatiente à chaque coin de rue
le peuple qui habille nos carrefours du flux et du reflux :
Nos artères bourgeonnent de tant de vanité, regorgent les villes
les villages et le désert des plaines
se creusent de tant de tombes : la Lune
se raffole, impatiente et pleine de projets
d'histoires paradoxales, de vulgarité et du nouveau
de lassitude déçue.

Mais je suis l'époux de la Nymphe au Mantram unique
que j'ai gagnée avec des ruées, anxieux de plaire,
dans la bataille : au Combat mon âme a été vilement assassinée!
Nous nous embrassons aux enfers comme au pays de l'Eden,
Je vais où je le souhaite, c'est le trou béant au coeur
la vacuité noire qui m'éclaire qui me guide, et m'instruit!

Le Corps du Kristos et son socle de pierre brute :
Symbole de l'Immortel Esprit Aryen qui anime le Vrai Monde
des êtres vivants et de l'Irminsul,
l'Arbre Colonne,  la foudre transmutée  en pierre.

Qui tient le rouet au fuseau de fortune, qui tissent les pleurs la joie et le désavantage, des uns comme pour des autres le crime de baver sur le macadam, et de saliver comme des porcs épris du vagin?  Qui programme le disque du borgne éclopé ou de l'encélophalie avortée?

Est-ce bien Chakravarti le Meneur des bagatelles linguistiques qui débattra le sens des chimères récalcitrantes?

Au vide du moyeu l'ivrogne se tient blafard, démantelé. Près de la sortie, il se dessèche. Le cul en l'air sa tête dans une mare de vomis. Encore une fois de reprendre le retour des cycles tournants, indifférents.









jeudi 28 janvier 2016

ALONE ou le Un n'est pas un Nombre



Le Un n'est pas un nombre.
Il n'a pas de parties, et n'est pas multiple. Est indivisible et homogène.
"Je suis le UN et il n'y a rien qui me ressemble en aucune manière! Mon vrai nom, il n'y a personne qui le connaisse, n'y jamais ne connaîtra. Je suis Le Seul à le connaître : je suis fier orgueilleux, unique et ne ressemble en rien à rien. Je suis le Centre de tout ce qui est, et qui ne peut être découvert! Néanmoins, je sais et connais où je suis."
Indivisible, indivisé aussi, très simple dans sa nature de parfaite rondeur.
"Quelques uns m'appellent Dieu! ...d'autres par le nom suprême d'Allah. Il y en a me traite de LUCIFER ou Luci Bel quand la crainte les pourfend et stupéfait! Il n'y a rien comme moi-même, nulle part, car je suis le Tout. Sa périphérie, son ciel sa terre.
Rien ne me précède, et le néant qui me suis
et qui est à l'origine mon Père et ma Mère, est à moi.
Et je peux me passer du TOUT!
Je suis tes yeux.
Tu es mon témoignage."
Je te salue,  frère Plotin. Inanna est juste derrière.



The Keeper of Souls : Psychopomps

Why ?

To make you think with your own mind
that you might fend for your kind 

In this Great Void where ghosts linger
 and are carried to and fro

wishing it or not,

In circles upon circles,
 in this tremendous maëlstrom !

...and I ALONE as Alouinne 

Make you see and hear and say 
What I alone as you

am inclined,

In order, to make you think again
and again, answer for yourself.

Hoping, at each time you dare speak
or dare keep silent, you will know

That DEATH is your only friend,
Angel of Death but a giver of desire

The only Compassionate the truly ever present.

It's to make you think and fight, interminably
awaken again and again, for your own honor !

Your courage comes from the hatred inside you
well defined that so it be given its appropriate
visage.

To make you think and fight again, for you own Honor.

All Aryan friends are ONE and separate in these rounds,
In these comings and goings amongst the ruins
In all living "creatures" their ETHERIAL BLOOD

Boils, brews the the Holy Ale for our Great Distillation !

My SOUL is my own
The Sacred Star guides me
On my path with me there, remembering
all those I've loved 
in this wonderful disaster :

My Pilgrimage.

I am a LIGHTNING, that needs no slaves
to cater me !

I have no need to save anything nor
 to save someone
wandering off the road of their OWN destination !

I have no need for kiss ass kamaraden !

One for 100,000 know me and I am contented with that.

To make you think and get angry, to fight
never submitting not even to an imposed avatar !

To make you think and think and think

Till the Dawn come, that your Sun might rise

That you may become as LIGHTNING,
Afraid of nothing
Honoring your Precious Aryan Blood

Issued from Valhallah.

Deus est in Mundum
Oculus tuus.

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The Christ came to me while I was sad and fatigued. I was listening to the Vespers of Stravinsky, in an ancient village in Southern France, in my home, in Colbert's Ancient Manufacture in Montolieu. 
I was young stupid and very trusting, always honoring my word, and constantly being betrayed by those of mixed blood.
In those days the widows wore black, whether in summer or in winter.
As I lay on a poor man's humble couch, I closed my eyes :

There in a great hall, a bearded man came towards me
offered me a cup, a grail of wine.
He said to me as he was accompanied by friends, who
they as well were bearded and
WERE MATURE INDIVIDUALS,

Take this cup and drink it, soon
you will be, here with us

We will banquet and drink, all of us, TOGETHER.

He wore a purple cape of gold embroidered and had Golden Hair, and Clear Eyes. There were stars every where to be found on his clothes.

It was the Christ, as he drank with his true friends. 

He was above all that, all the fussing and kiss assing ! Couldn't any longer give a damn !

Today, I imagine he could say, " Blaise Pascal is more than likely still in Hell. Or at the time, needed to make himself believe, he could think better for another, than the other for himself."

Or has he become a Kristos, he as well ! And perhaps now, Blaise is in the Sacred Hall of Valhallah, making merry with dear friends.

And in the coffer where he was buried there's nothing left,
no not even the semblance of a corpse.

Just a white steel sword.





mardi 26 janvier 2016

des Forces Mortifères et la Foudre de la Perception


VAJRA

...des miasmes et de la putrescité
de toute sorte
frapperont le visage aethérique, 
dans l'harcèlement persistant
agresseront sans honte
ni d'une vergogne plus exaltée l'aristocratique beauté
du noble qui par théocratique défiance,
ou sensualité étourdie
s'avère dans la chair impure
dans l'atroce embourgeoisement bureaucratique
virus pestiféré et malêtre des éveillés stupéfaits
de l'humain étalé sur des carreaux du Chaos ténébreux.

Technocratisé à force de coups qui pommèlent et
laissent avec une lassitude prolongée, 
le faible et le difforme de l'humaine arrogance,
du shudra et du paria
se vanter dans les basses cours
de l'ubiquité prolétaire : protéines macromoléculaires
partout présentes : visages couperosés
image de ce qui est mortifère
destitué de toute divinité qui vaut louange!

Et hélas, sinon ironiquement
les seuls qui ne se débattent pas 
ne sont que celles et ceux
pour qui, il est maintennant tard, 
et comme leurs enfants hybrides et preuve
de déchéance, 
appartiennent au détritus démumi d'âme royale
que la malencontreuse fabrication des cités
accablent, insultant la Face immortelle des hommes
nés fiers, uniques et conscients! 

Assimilés par le léviathan des machinations,
pour la joie de Platon et qui s'égare
sont enterrées dans le sombre sommeil 
les collectivités sans honneur ni orgueil :
où l'esprit se meure apostrophé
parmi des boudhéïtés socialistes
de la plus grande et insipide platitude!

Je t'apporte le foudre de la perception
la brisure des porcelaines d'imitation
ou de facture d'er satz!
Je foudroie les élus, leur attribue
mon éclat.
La rouille, je laisse pour la dernière extraction
quand la Résurrection viendra!
Tu es Shiva.
...et je t'ai choisi. 


lundi 25 janvier 2016

Leurs Têtes à Couper


J'attend qu'aucun livre ne me parle

...ni livre saint ni dogme ni alien
d'une autre terre, d'une autre rive

Venu de quelqu'ailleurs tout aussi vain 
et mortel que quelque golem sans souffle divin.

Le subtil de mes essences, je l'invente.
Cela m'est l'oeil de l'accrue perception.

Quoi du distinct?

Par delà les horizons qui s'effritent sur les genoux
des mères qui lorgnent l'espace indifferent :
Leurs enfants hybrides, la mort de l'aryen.

On érige notre fondement sur des tours
Dont les coiffes surnagent l'écume de l'indécent.

Arrête! de pleurer et bats le plein de l'épique
désastre!

Couche-toi ensuite dans les sables du Thor mort,

où son cadavre heraldra sur les rives
des 2 berges, la renaissance impossible 
aux côtés de son marteau de foudre : 

Ton coeur d'éclair qui germera!

Voyons, des têtes tomberont,

Soyons en sûrs!

Hissées sur des mâts croisés

 de la Noblesse

Qui est Morte désormais.


la classe moyenne disparaîtra
et le mediocre avec le bourgeois
de se retrouver chez Hadès,merci!


Kristos


Ô pour l'effort
                       et le brut courage

l'Immortel fiché dans un socle d'immaculé chaos :

Sain et austère, condescendant et fière, face
Droit devant l'abime du coeur implacable :

Il brandit le glaive de son éternel mort parmi
...le souillé, devant l'abject misère.

L'inébranlable âme fend la terre et ouvre 
Déchirant le dome du Ciel, la précipitation
...de ceux qui seraient les déchus :

Romp les os des lâches et que les hypocrites
Traitres envers les leurs se brisent les dents

sur les pactes manqués!

Quand sur l'Ebruz et par son col, l'Etoile de la Vierge
Piétine tout vestige de l'homme mélangé.


L'Avatar Kalki

mardi 19 janvier 2016

"BIG SISTER" est de Sodom, Gomorre c'est pour les Ogres Eunuques


Cretina!


C'est un monde de Big Sister. C'est elle qui dirige suréptiscieusement l'inhérente chaotique calamité dégénérescente qui amoindrit peu et prou, les acquis de nos grands garçons historiques, déjà perdus dans les oubliettes des assistanats, de chez ............................ 

...le peu de vrais hommes qui n'ont pas étés atteints encore par la peur d'aller à la rencontre de la soi-disante justice sociale et laïque, ou de contrarier leurs bonnes femmes mégères qui travaillent dans leurs officines administratives, qui d'antan était si baisables! Si mignonnes, si douces, et si incultes et connes!....ensuite elles chercheront de la spiritualité dans des salles de chorale ou dans les églises, où dans quelqu'atelier martinist. 

Une poutre dans l'oeil, Big Sister fera bientôt de tous les hommes, soit des cocus, soit des pédales soit des castras!
...des mous qui auront démissionné de leur côté le privilège d'être des "hommes".  

Ô Kalki! Je t'en conjure, libère la terre de sa surface souffrante, du poids inerte de tous ces hommes qui démissionnent devant le visage de leur virilité salvatrice, et sont au fond des femmes masquées, des atrocités comiques contre la Nature!...des produits franc-maçonniques conçus à partir de leurs doctrines "A-DOGMATIQUES" de faux-culs et pseudo-aristocratiques bissexuelles fesses!

Il assassine la chose frelatée et balai d'un coup du bras du macho
les déchets de l'humain mensonge
et rendra la terre pristine
à ses élus modestes!



jeudi 7 janvier 2016

Se l'Envoyer en l'Air




Il a brisé le dos de son âne et enterré son chien!

...les calamités de ses historiques désinvoltures du Mystère de s'abreuver aux 4 coins du Monde dans l'Obélisque d'Hiram Abif. Quelle inouïe joi que l'heureuse fin des pharaons! Les imbéciles maçonniques de souhaiter le retour des démons depuis leurs mastabbahs oubliées et ou perdues; de voir revenir les anciens sangsues de la vieille Egypte, pleine de larves et d'esclaves à refabriquer, et leur clique de baver le sang caillé, souillé par des dibbouks de fête foraine. Polluer la tendre cervelle des petits enfants à venir ayant en tête leur plus grand bien, avec en plus l'augmentation mécanique de leur petit intellect tout matériel :

ô, pour la source indéniable de l'âme pure
enracinée dans le grand Néant!
Qui abreuve le coeur lequel dans la désolation macabre
pleure l'amplitude de sa propre inaptitude immense!

Honore la mémoire des tiens ou sinon 
sois maudit un certain temps, du moins
le temps d'un café :
La régression au retour dès à présent te laisse

Déchoir. ... si tu ose, fais le vite :

Ressuscite le chien, déterre le vite! sans hésitation, 
et mange ton âne
avec du piment de chipotle et une bonne Dos XX!