mercredi 23 décembre 2015

Here's to You, Jesus


A star must rise in your heart,
and then strike you with lightning!
















Here's to you, Jesus!

While mortal men explain away with their mortal brains what they have seen and heard,

with their mortal eyes and death's ears.

In a world, where all that comes together, falls apart.

In this sometimes ugly place among those who are ugly.

Seeking haven in the heart's pith! Loving only Beauty only to mock those who deride. 

Heaving aside into God's abyss, the stupid evil petty crowd of cowards. 

What a seemly show of pretentious skill! ...wherefore, the untarnished mathematical boredom, infiltrating and invading obnoxiously, the breath of babes


The Lord of all Being and Awareness is Alone.

...and the lonely shuddering on the dust heap of all of mankind's conceited historical deceit.

One or more calamities for the vain mind.

Another strident ripping in the soul's orifice of simple emptiness.

Come! ...let us drink together ô Christ, my fellow friend.

For tomorrow You and I must battle to the very confines of a filthy world which would parasite our vital and august awareness. 

A toast then, and only to Beauty, and to the rest, condemnation.


How the True God rewards the deceitful and the apparently innocent.



lundi 7 décembre 2015

let the wolves come to me


Let the wolves come to me. I will speak with the forest, watching the wind flow between and in the trees : it tells the holy creatures : teach your children to honor nothing that hasn't any life, and to thank the animals for the flesh they have on their plates. Teach them how to make a fire, how to follow the boar's track, to lie down in the warm earth where they slept the night before. To recognize in the buzzard's flight, why he turns at a certain instant in the sky, not because of air flow but because he calls the rain to the mountains. Hearkening the replenishing of the Spirit's source.

My sons can stand at the edge of any cliff, like mountain lions they can climb any steep slope : they never tremble neither in the tempest's cold, nor at the top of any water fall. 

They are fearless!

We can speak with wolves. The fox and the snake stop to say hello. The wild boar in the middle of the night watches over us!

My sons have piercing eyes, yet kindness thrives in them.

And it hurts to be real men in a throng among human lies and the innate deceit of all worldly affection. But we know how it is to laugh together! Among our own kind. 

They have become awesome men. 

They will never bow in front of the world's filth.

If not, they would no longer be my boys, but the social consequential aberration engendered by a devious farce.


In our blood is the fierce soul of our Spiritual Ancestry!


to Sylvain, Emmanuel and Elie!

dimanche 6 décembre 2015

Vamachara et Dakshinachara, Mais où est l'Agartha ?


Ha-ha!
C'est quoi ta voie?
De quel côté viens-tu?
Laquelle des 2 t'est permise?

Il y a un abime dans le coeur qui s'appelle l'Agartha, mais peu du monde en connaisse l'accès!

Ils le cherchent dans les collines dans le Midi de la France, à Bugarach ou en Inde, sur le Mont Shasta ou à Pondicherry. Ils croient que Shamballa est un pays quelque part sur la Terre ou dans son dur intérieur. 

Et c'est vrai, et c'est faux!

Pour beaucoup ils souhaitent préserver la coque ou qliphoth des choses : la Terre du dehors, son décors et sa délicate précarité!

Dommage, pour si peu qui nous quitte avec tant de facilité. Dommage que l'homme quelqu'en soit son Âge, soit aussi con  aujourd'hui qu'hier que, hélas demain!

Dans l'Oeuf de l'Âme intègre réside le remède de notre décès, sa "luminosité" croit à l'échelle de l'Eternité.

Man arafa nafsahu arafa rabbahu.................

...du Haut de toi-même la foudre scinde
et incinère ce qui t'est pernicieux.
Et l'éclair pourfend ton soufre
te nourrit l'asbestos.

Vois-tu, tu es celui qui adore Dieu
et ce parèdre qu'Il ne possède pas!

Ne pervertis pas tes voies avec l'indécent.
Que ton oeil reste pur
et ton âme, une fidèle épouse.



Tiré d'un Tas d'Os et de Poussière



Il est certain que dans la fabrique substantielle de l'air qui nous pénètre et nous entoure, respire une daïmonique delusion, sournoise certes, qui est consciente ou semble l'être et saurait par son propre engin, provoquer une espèce d'apathie perturbatrice remplie d'un pathologique amour du Rien, et qui cherche à dénigrer miner et/ou détruire par tout instant et à tous moments dans tout lieu, le candide oeil de l'innocent, la transparence dorée et nimbe émeraude qui couronne le chef de ceux qui sont "JUSTES". 

L'apathie est l'état d'être de celui qui n'a pas "d'animo"! Il lui manque même l'énergie de faire de véritables bêtises! Il prend sa paresse ou indifférence pour du détachement. Sa négligence personnelle apporte ruine et déconfort auprès des siens(dommage qui de sa part n'est pas voulu, n'est pas intentionnel, mais qui tout de même dérobe de dessous) ne voyant pas que de creuser, peut-être un peu, même beaucoup, dans la terre de soi-même, révèle qu'il y ait une terre sainte enfouie dans sa carcasse! Et qui se moque de son APATHIE arrogante!

Il se vautre, plutôt, dans la boue de ses échecs comme si cela le rendait plus admirable. Quand terre et ciel s'abiment il n'assure en rien l'espoir d'un autre, et l'ennui de sa propre nature qu'il ne connaît toujours pas, le dévore du dedans et clame qu'on l'aime en dépit du... et que cela soit dans les égouts parmi les misérables que la haine engendre. 

Vaut mieux aller plus loin que "le cimetière" de tes collègues si t'as envie de gratter un peu quand même, si ce n'est le vernis de la façade de ce qui recouvre la poussière sous tes pieds! et la moelle de tes os!

Si tu creuses et tu ne trouves rien, c'est qu'il n'y a rien et tu n'es pas "DOUBLE". 

Dieu t'a retiré l'âme. 

Et c'est que, surtout, Dieu ne tient pas compte de toi! Cela Lui est égal. 

Tu n'as pas encore mis le paquet, et tu n'es en rien, un initié. 

Koufar!



Il y a une différence entre le 3ème et le 4ème
que tu ne connais pas encore,
quel dommage!
Jette ton livre, brûle-le vite,
entre dans le Royaume des Innocents!

Ou sinon, creuse, creuse et creuse encore
Pauvre cul-de-jatte!