Mad and Insane

To worry. To worry continually without perfect madness !

Like a shameless heel on a road. Damned in a man made verbal cage. In a demon's incarceration.

We make our every structured unquietness into an unavoidable critical situation. Were men meant to think or quiver with a working mind ? Does man even have in the long run a mind that could call itself so ? Are thoughts really necessary for the immediate well being that supposedly all so called men strive for ? 

Eat, drink and be merry. Or just worry worthlessly all the life that you need, until the bleak sandman cometh ? To take it back. Putting it back again into the drawers of useless quibbling !

What is hidden in the sky around you ? What is it that you're breathing while you are in the process of "thinking" your brain away into oblivion's hut ? Is it with a peaceful mind that  approaches, when you lie on the dust bin of all lives ? Or has it changed, is the dust on the drive way gone, do autumn's falling things cover the way ? Is your front door closed and locked. Do you have a back door ?

Is it just your solemn promise, has made you climb those steep steps that go up and down at one and the same time ?

Into your unfathomable cellar : into the attic over which you've never built any ceiling nor roof to cover it ?

Who is it, has been abused by any kind of mind control ? 

Those who have awakened in their own home made nightmare.

Who's, the fault, that you're insane, mad ? 

Mine. Since birth till now, I'm done for. 

The brain might break and that's just fine. I never was a good school boy. Useless !

But I converse with the damned in Hell and those angels who'll stand my company.

I am in two or three places at a time. My awareness is in God's hands. My soul under my keeping and guidance. The terrestrial body, a barren wasteland full of ghost shadows : the real earthen dirt to which it will return, afterwards to be exhausted in the abysses and washed in heaven's tears will become a cristal clear abiding vessel. Ready to be conquered and assumed by a resurrected  consciousness.

L'Antechrist, Dajjal, Lucifer et Satan Ôh !

...et l'Esprit reviendra à l'homme qui est dans la tombe.

B.V.

Lucifer a vu qu'il portait en son sein la puissance de Dieu. Qu'il y ait eu un autre que la Divinité de Dieu n'a pas plu au Seigneur des Mondes. Et donc le Tout-Puissant a saisi par le toupet de sa tête, ce coupable éhonté et l'a précipité dans le Monde d'en bas chez les hommes d'argile qu'Il venait juste de fabriquer.

...que Dieu nous protège et nous guide sur une voie de Vérité. Nous y fasse entrer et sortir par la Vérité !

L'Antichrist est certainement tout l'édifice de ce Monde qui enchaîne. Il est certainement La Chose que nous avons fabriquée avec le temps à travers les ambulades à travers siècles ! C'est lui, notre héros pornographique, le sublimé de nos entorses morales : il est notre crime contre l'Innocence des êtres qui peuplent toutes les sphères de toutes les existences et états d'être possibles ou inachevés. Il est l'Enfant de notre copulation avec le Grand Dragon de l'Ether :  
la Dame en Ecarlate la Succube espérée conçue depuis des millénaires !


Extrait de l'Azoth environnant puis précipité dans la Mer, d'où le Dragon, autrement Satan a été lui-même tiré. Il suscite grâce à notre persévérance une autre bête selon les sept sphères d'influence astrales et leur intimes et multiples conjonctions, couronnée par les astres fixes et leur demeure immobile. 

Dajjal est l'envoyé de Satan, il est "l'ante-messie", celui qui devra précéder l'arrivé du Véritable Fils de Dieu. Il est l'homme si laid de l'extérieur que les femmes déviées diront de lui, qu'il y ait en lui une beauté intérieure. Certes, cela est tout à fait faux : car l'homme qui de naissance est laid, si laid de dehors, il est forcement tout aussi laid dedans sinon davantage ! 

Mais la femme laide intérieurement retrouvera son véritable reflet dans le visage de Dajjal et ses cohorts. Elle l'aimera pour sa laideur, en fera des éloges et par là signifiera sa propre impropriété à discerner quoi que ce soit de fiable. Dajjal est le prince de notre abomination éthique. Il régnera à sa guise dans tous les lieux et milieux ou le mensonge et la mauvaise foi ont cours. Comment serait-il autrement ?

Lucifer était le plus beau et le plus intelligent de ce que Dieu avait créé au début. D'ailleurs il est devenu l'intellect dévié lors de sa chute....C'est lui l'Etoile du Matin celle qui présida à la naissance du Christ, celle qui inaugura l'espoir du Retour du Seigneur ! Il est l'Ange déchu par excellence et sans lui quel espoir y aurait-il à espérer autre chose, c'est-à-dire, le Messie Noble.

Oh,......Dieu n'a pas oublié de nous envoyer son Saint Esprit, Ar Ruh Al Qouds au sein de notre bien aimé coeur, là, une vièrge, eh bien, ella a conçu du Saint Esprit. Ensuite l'âme s'est accouché de son petit Jésus. C'est à partir de là que commence le sentier de la Connaissance effective de soi-même et du Monde où il fait terrible y vivre, si ce n'était que l'Esprit n'adoucisse parfois l'amertume au fonds de notre puits corporel et prison de vaine egoïté, construite grâce à la Bête-Dajjal. Qui ne manque jamais de remercier aux hommes, leurs énormes erreurs juvéniles !

L'Esprit reviendra à l'homme qui est dans la Tombe.

La Matière Première de la Grande Créature Céleste est invisible. Elle n'a pas de substance discernable ! Ni atome, ni onde ni Rien.

C'est l'Intellect du Seigneur qui la substantifie. Lui insuffle La Forme Idéale. L'Homme Parfait avec une personnalité à lui-même, est la Réussite de Dieu dans le Néant. Il n'y a que cet homme là, qui est en possession d'un libre-arbitre. Tout autre homme n'est tout simplement qu'une "image" friable et virtuelle. Une imitation d'une imitation d'une imitation etc.

"Je l'ai dit :Vous êtes des dieux
des Fils du Très-Haut, vous tous !

Pourtant, vous mourrez comme des hommes,
comme les princes, tous, vous tomberez !"

Psaume 81

Camino Mio y Palabras y Tonterias

Mes chemins m'amènent à l'aboutissement de moi-même.

Que cela se produise sur les voies de Google, Firefox, Internet Exploreur, des ponts et chaussées, les autoroutes, les départementales les communales, les quais de gare les rails de train, les sentiers balisés des montagnes, sur des chemins de sangliers et de renards, ou que j'ai moi-même forgés dans les forêts où personne n'a encore avec insolence donné de nom.

Qui déterminera ma voie. Qui ose encore me faire des reproches d'avoir prise ma route de Gnose personnelle. Qui dans l'absolu est sans défaut au seuil de Tartare. Qui ici dans le Hadès m'apportera à boire ?  Où sel et fiel gagnent en envergure. 

Y a-t-il des "gens" qui cherchent avec mortelle impunité, me régler les comptes. Eux qui bafouillaient dans les loges où sur les daïs de vanité plébéienne sur les estrades de l'Orient ou au Zénith ? Dans un lieu qu'ils ont la prétention d'appeler, non profane !

Où nos mystérieuses ondes psychoéléctromagnétiques saturent les incombants de jus astral et de récits de racontars et de baise-fesses. Et des hommes et des femmes mûrs se le font avalé avec des rituelles dites "régulières et traditionnelles" dans l'obscurité avec des cierges et du parfum d'encens de chez le FNAC. Ils imitent et plagièrent carrément les dires de ceux qui les ont précédés, cependant que leurs aïeux avec le temps, dans leur progéniture initiatique, dégénerent. Leurs tabliers sont faits en Chine.

Ne voit-on pas la supercherie ? 

Le chemin, je le prend du travers. Je me le signale et mon Dieu me l'accorde : Le Salut n'est certainement pas dans ce que nous avons fabriqué ni non plus dans ce que nous instaurons aujourd'hui ! 

Pourquoi honorer les hallucinations organiques ou concrètes qui de notre imaginaire proviennent, alors que pauvre sot que t'es, ton Dieu te ronge ardemment où Il t'acclame dedans?

The Transitory Life ou La Vie Éphémère

Hah !

Comme une bourrasque érode, la pénultième promenade. C'est la chute du cocu, sa déchéance, car il n'a point osé contrarier la paresse qu'il entretenait depuis qu'il eut trahi sa loyauté envers son sang et ses amis du sang !   

Qui est coupable ?

No tiene coraje, hiho. Ya, no tiene ni cojones ni tampoco animo !   Que lastima, hijo de puta.......Su Madre es una mujer muy bien en su corazon. Me da pena...

Effectivement, que tu vives ou revives éternellement des schémas perpétuellement redondants, ton âme, tu l'as épuisée dans les sottises de tes compromis. Et tout ça pour ton bien être, et les plaisirs que te procuraient ton appétit acharné pour les ombres de la carne et aussi pour la carne qui te masquait ta fatale origine charnelle !

Était-il possible de faire autrement ? Viens, que je te le tartine. Ou attends un peu que tu tombes malade,...et là tu prendras une décision. Tu te saisiras, mais seulement quand tu auras perdu ta santé et tes moyens et surtout quand tu réaliseras que ta nature véritable, s'en est allée aux limbes, te laisser tomber. 

Eh ! ... eh.

Je me bats pour la carcasse que je trouve sur mon assiette. Je ne remercie ni Dieu, ni son Esprit, ni non plus le morceau de bête que je mâche mastique et avale : que m'importe de savoir que je m'agite tant et que je mange des cadavres. Souvenirs plastiques des vies transitoires que je n'ose pas ôter ! Vies comme mienne. Corps corruptibles tous comme mien.

la graine de sénevé 

l'arbre où vient niché les oiseaux du Ciel

L'homme bon et sa forge : la Résurrection

Mais parfois Dieu nous fait cadeau. Et dans l'homme inestimable et plein de tant du bon cœur, Il a semé de toute Éternité dans une telle terre fertile une graine. Et ce n'était pas parmi les ronces, ni dans la rocaille mais dans un sol noir et fécond qu'il l'a jetée. Loin des yeux vicieux.

Deux corbeaux tiennent la garde et veille.

Cognitive Dissonance

Conceit.

Where does it come from ?

Who made it appear ? For what reason ? Why ?

Those who cannot embrace its feet, or refuse to do so, are flung aside, or stomped on. 

Conceit is what makes a man or a woman smirk. Makes him condescending, when in his life all is going well, or not. 

Vanity has sex with conceit then gives birth to pretentiousness. And the pretentious dine together on the ruins of those who will resurrect in the futur world of Gold.

The condescending will just disappear. Their corrupt atoms disintegrating into tomorrow's "larves".

Those who love to dirty their eyes with factory sweets persist in fancying themselves above the primordial type of man, in whom nobility is a gift from birth and cannot be educated. They create schools and from there, governments; because a school is for brainwashing where one chooses the best trained domestic dogs who in natural conditions could not fend for themselves ! But in an invented structured situation could make believe, having created language grammar and syntaxe that they can explain with their linguistic toys, the Cosmos and God and ...Man.

We come to this plane of species existence, as beings that are a part ! And we can't do anything about it. And I for myself would rather be as I am, then to become what I can't be !

An oak tree is an oak tree, the grass, grass. The magnificent mountain ash is and never would wish to be ought else. Unless to hide itself among the poplars, to camouflage its outward appearance like the chestnut trees in a forest of beeches.

Is a mosquito less than a grasshopper or a kitchen fly incapable of knowing what it sees. Are men really above bugs.

Do men know what they see ? Do they really know what they're looking at ? Who taught them what they know and how to speak ? And those who taught, did they know what they were looking at ? Did they know what they knew ?

Today, not only schools and politicized administrations, brain washed psychoanalysts, media, your local Masonic lodge and the pal down the street have taught you, and teach you, WHAT TO KNOW. But also those who christen themselves as  against The New World Order. These and their like tell you what's to be known and how to know...because maybe they've been taught to tell without knowing they themselves are told what to tell, and what should be said ? Truly, wouldn't they like to brainwash others as well into believing that they're capable of thinking for themselves ?

But an honest man knows this.

The Primordial Man knew this as well, before there were any schools or Civilized Social Networks !

There are two kinds of Man. The Braindead man who needs societal recognition, a place in some political agenda or to be something according to Plato's "The Republic, or The Laws or in his Politics", and the Holy Ghost Man, conceived by God from all Eternity within the Principle of all Being.

But of course for those who need schooling to know what I am talking about, they would only become well trained watch dogs and nothing more. 

Just very dangerous professional thugs.

Slander and the Better Man

We cannot be all masters, nor all masters 

Cannot be truly follow'd...

In following him, I follow but myself...

I do beseech you,

Though I perchance am vicious...

(As I confess, it is my nature's plague

To spy into abuses, and oft my jealousy

Shapes faults that are not)...

                                                            Iago in The Tragedy of Othello

Slander belongs to the man who cheats, aware. He uses the intellectual inability of others to thwart their indolent intelligence(making a mockery of them), knowing that, that which surreptitiously excites the mob minded individual, is exercised enviousness and its inveterately practiced jealousy. Preconditioned thoughts, the insincere conscience, and all kinds of inculcated mythomania are in general the heritage of the collective unconscioussness of those peoples! To know how to  take advantage of those weaknesses belongs to those who know how to use the art of slander. Often it is really only the fault of an irresponsable collective mind, if Slander can operate so easily... if a people cannot in any way retrieve its own free will to think for itself as so many individual souls, is it any wonder that a sly man can dupe or "trump" a stupid and "unconscious" crowd in which there are no personal thinkers of even the slightest sort !

To slander is to undermine the psychological defenses of another. A slanderer insidiously can sway a lazy mind, and by all means even more so, influence all lazy minds in order to discredit an adversary, and again, even if there is no adversary for any reason, he shall search out to make one, just so as he can show to himself just how ubiquitously moronic the average man is in agreeing with him, when accusing or injuring morally the innocent man which he has targeted. 

To make the better man seem a scoundrel in the eyes of an ignorant public. To undermine another's soul or personal character rather than to respond directly to another man's discourse, injuring more the person and his outward aspect or reputation, than to reply with rational proofs or at least an honest logical sentence to the other's argument, so as to deviate all attention or serious inquiry into his propos !

The mob mind is so easily distraught. Can be without difficulty mesmerized into believing whatever malicious minds meditate, is it really worth it to want to inculcate them otherwise. Is it better to hypnotise with other ideas ? 

The better man, even when slandered, couldn't give a damn. He can be attacked physically, injured by word of mouth or ruined socially, what it is makes him better sustains him in all quibbles amongst liars, that to know what is true in his heart suffices. Because he has no malice in him, which could deprive him of knowing himself and of what is his invisible   foundation.

All mob minded people who are selfish or just simply jealous and effeminate are at the mercy of slander and its servants. They'll always jump to the occasion of smothering or defiling a good man. Who is neither deceitful nor capable of speaking seductive words to entice the meager and inferior self. The mob likes what flatters its communal conceit. The mob adores its own reflective image in those that are its incarnation. A people is in their leader's image. 

To be slanderous of what is Noble and Better, morally, is a token of being a come and go, idol of the mob's true heart.

The better man flees the vulgar. The truth knows how to defend itself. 

But if confronted for what he is or stands for, will stay and do battle till the truth wins ! Those who slander and those who listen to them, dont deserve Truth nor can they accept its simple premisses. 

I will speak of back biting another day, as it is, slander in itself  is better known by those who employ its methods, and the better man is often at a loss in understanding its channels or whys and hows : if decent people actually existed, would they permit themselves to be abused by it. Could a scoundrel manipulate their thoughts with such ease ? And without shame could they even pretend to relate to those who slander.

Perhaps in the hearts of those too human, slander has found a nesting place since the time of Eden. 

Or perhaps, the men of today are just not even men, not human in anyway ! Only a back biting man or slanderous person could stoop to listening to the devils in their organic nature....and thus as well be convinced by those who slander and are better at it. 

After all the devil or what is inferior can only communicate with what appeals to an ignoble nature !

In fact, their are only 144,000 real humans at this moment in this numbered world.

In the end, it is those who pretend having already attained the "human state of being", who simply fall short in their moral character of the animals in the wilderness. 

Perhaps God created them in His own Image, and what man sometimes believes himself to be, is only good for the dust bin.

I Am The Wet Wind

You are dry. And arid. Nothing grows in you. 

And you think, to abort an infant in your womb, means being free. But death comes with you and had I not insisted, I'd have died in your city streets, impoverished without the real sky as my witness to the Eternity that waits for me above.

Naturally I refused to beg and wouldn't accept your filthy and demeaning alms giving ! Better to die a proud man, and broke than to become a useless meaningless social care abomination. I would rather die, sword in hand than to beg for mercy in front of a social bureaucratic slave!

I still had a God.

I am the wet wind. I carry in me the blood of all living things. Without me, you are without child and no thing would ever grow. You are beautiful on the outside but infertile in the loins. You have no heart. Only phlegmatic incongruities adorn your shallow matricial walls. 

You are sterile, dry, giving no affection. You turn your face from the heavens, looking at the using skin on your flesh in front of egoism's mirror. You respect nothing and take no heed to sacredness. Some call you Lilith or Lillitu but I call you the loved one I lost. I have made you pregnant. It is my sap that ushers forth from my exuberance because I have conquered you with my will. And now you are pregnant with my celestial seed !

The desert gives forth green. In the veins of all living things, my blood swiftly rattles smoothly, flowing in the midst of your naked shame; but now there are flowers and fruits and wild creatures moving to and forth. 

I have seized you, Kali.

You have become soft and clean. You no longer nourish yourself on ligaments and bones. I have thrust my holy sword into you, I have murdered the fowl shrew who driveled blood and impossible smelling insults.

You will no longer hurt the eyes that love you. 

I have taken back what is mine, made it into an abundantly filled chalice, where never again will the supernal waters cease to flow.

All is filled with my noble blood.

Tableau de Fritjof Schuon

And you radiate my love.

La Mauvaise Foi, Son Monde et l'Homme Noble

Rudolf Hess en 1974

...and we are expected to believe that this enormous sea of time is practically sucked into these epistemological sponges until nothing else remains.

                                                                    -Branko Malic

La mauvaise foi a toujours fait des innocents, des pigeons. Elle trouve toujours bonne compagnie chez les commerçants de tous accabits, et sans relâche même dans la vieillesse de beaucoup insiste pour être entendu à pied d'égalité au milieu des honnêtes hommes. Savoir ne pas être sincère avec un sourire au visage, rend agréable le temps qu'on passe chez ceux qui la pratiquent : souvent ils insistent qu'on n'a rien compris et qu'on ferait mieux de suivre leur exemple car comme vous le savez bien, ressembler à Saint François, ou à Rudolf Hess, c'est plutôt ringard et il vaut mieux ne pas être en but au ridicule parmi ceux qui vous scrutent, et qui risqueraient de vous prendre pour un idiot !

Être de bonne foi, que cela est ridicule! Vous m'avez pris au sérieux ? Que t'es naif. Les mots, ça signifie rien. Je t'avais donné ma parole ? Tu ferais mieux de te prendre moins au sérieux, et de te moquer un peu de toi-même. 

Sinon comment survivre dans ce Monde de subterfuge et de paroles manquées ? 

La mauvaise foi est l'inaptitude consciente de reconnaître la véracité de ses propres défauts. De s'obstiner dans l'inappropriée opinion sans preuve et feindre l'embarras quand interpellé devant ce qui l'accuse avec flagrant délit sa propre culpabilité évidente ! La mauvaise foi nie les faits, et préférait adherer à sa politique plutôt que d'admettre le bien fondé de l'argument de son interlocuteur. 

Vous avez des preuves ?

Que m'importe ! S'il n'y a personne assez intelligente ou intègre qui ose démontrer le contraire.

Après tout, ce n'est pas la vérité que l'on voudrait connaître ou reconnaître mais plutôt, défendre en dépit de l'évident, l'invraisemblance qui me rapproche le plus de mon parti pris, qui me conditionne et qui m'a toujours conditionné depuis sans doute les débuts de mon éducation en famille et surtout à l'école.

La fourberie est la soeur jumelle de la mauvaise foi, et celle-ci à son tour est la camarade des couards, de ceux qui "inconscients" croient être à l'abris de l'oeil de l'intériorité. Et l'intériorité consciente est la preuve existentielle de l'Amour Divin chez l'homme.  Ceux qui pratiquent la fourberie ne l'ont tout simplement pas. Pour eux, pas de Dieu. 

Ce ne sont que des cyniques(selon le sens contemporain du terme) et ils ignorent ce qu'au moins Pythagore savait très bien, en tout cas d'après Gérard de Nerval, que tout ce qui existe, de même que les pierres ou l'herbe, possèdent une Âme.

La pratique de la fourberie dévisage le caractère funeste et prétentieux inhérent propre aux arrogants. Qui pensent être plus malins que l'homme de commun, alors que, ils troquent pour du néant en retour, la chose que même l'herbe ou la pierre ne sauraient renier! 

C'est à croire que comme chez Ezéchiel, qu'un homme qui trahirait sa véritable nature l'a donc perdue, et qu'alors, même, des vulgaires pierres, Dieu peut quand Il le souhaite, créer des Hommes.

Jabal al Qaf ou la Proximité Hiérarchique

Tout le décor technicien qui nous entoure, nous l'avons permis d'exister, nous adhérons de même à ce qu'il persiste cependant à notre insu nous ignorons tout de l'avenir proche ou lointain de ce décor du monde. Celui qui par ailleurs est appelé le Diable, le suscite en notre avide regard dans la fabrique de notre substance-cérébrale structurant. Et l'avenir nous nargue, nous est taquin...il nourrit la perte de notre essence dans des futilités que nous-même avons élaborées dans le vain effort de poursuivre des ombres évanescentes que les hommes considèrent comme essentielles alors qu'en vérité la Chose du Monde s'exude de nous !

C'est Dieu et non un autre qui décide de la situation ontologique de ses créatures. Les multiples rameaux de l'arbre de l'Eternité puisent leur sève à travers le Tronc et le tronc vit dans ses racines. Et la Terre est l'inerte sustenance antérieure qui pourvoit aux racines leur subsistance vitale. C'est ainsi que Dieu est comme une terre inane et vide, une terre spirituelle, pleine d'un sang minéral éthéré. Il est l'Invisible socle qui n'a de l'existence aucun attribut, pourtant aucun attribut ne saurait exister sans son secours. Et c'est Lui qui décide la valeur des êtres et non les systèmes civilisateurs de l'homme entrainé par une organique cécité, qui dévalisent désastreusement l'oeil de la caverne du coeur.

Oui mais, tout ça, nous le savons. Tout ça, c'est évident ! Il y a longtemps que je le sais. 

Les pouvoirs et puissances, ces shaîtans, shiddahs al alamîn, ces siddhis très connus par des yogis aguerris sont des enceintes éthéro-magnétiques qui rendent ceux qui y sont encerclés, des ensorcelés, et leur privent d'une saine progression dans les entrailles de leur masse azotique-matérielle. Les ondes, les vibrations, le magnétisme relèvent du domaine incarcérât qui prévoit à cet effet, et empêche celui qui n'en est pas averti, de garder l'esprit, lucide et humble.

Il ne transcende pas. Il est happé par les liens de ces titres de noblesse d'un temps révolu ! Pauvre bougre, et le chignon sur la tête lui barre le chemin de sa bouddhaïté.

Quand on prend le chemin du Simorgh, vers les sommets de sa haute montagne dans la sphère de l'émeraude, la rosée du mois de Mai se dore. Il n'y a pas à ce qu'il me semble de soucis pour le Monde des Griefs, avec son rideau peint d'images de grimaces sans fond. La clameur pour les positions d'importance séculaire n'y a pas sa place : et les prétentions éthiques de l'assistanat social succombent à l'inhumaine vacuité ! La société bureaucratique tombe en perdition et les partis pris philosophiques des Platon, des Aristote des Kant des Sartre et des Hursserl se dissolvent dans leurs propres phénoménologies sclérosées à force d'excès  d'insincère usage.

La pompe du Monde passe avec son multitudineux maquillage dans l'obsolescence criarde. Le Regnum flatteur des sorciers saturés d'Egregore se lamentent, pleurent et gémissent. Un crane et deux tibias est tout ce qui perdure.

Alors que le royaume des djinns croyants assistent à la chute des mercenaires mécréants à cause de qui, leur mondes divers étaient rendus invivables.

A chaque vivant sa place. Dans chaque visage réside l'origine de son exil et de son céleste retour.  Il n'y a pas un lieu où ne règne une conscience polaire, car où que ce soit que tu dirige le regard là est la Face de ton Seigneur.

Cela est la preuve de la proximité et te place sur l'échelle de Jacob. 

Lead Cannot Become Gold nor a Wolf a Little Girl

Lead will never become gold. Neither can it comprehend within its internal complexity what the spirit of gold is. 

What is uncouth , disastrous in its very crude nature cannot transform itself into a noble entity. To be other than what it is, is to not be what it was !

An aryan can fall into the filthy littleness which makes this world go round. He can be dirtied.  His innate qualities, which are god given, can be sullied, but in no way is his intimate suchness affected radically ! You need gold to make gold and so it is with the aryan man : you need in the very chasms of your pith, the makings of a Good Man. ...and it is God, with his own image, can make such a Race of Men.

If something is squalid, it must be cleansed or destroyed. In any case it must stop "being" at least from its shadow side, what it is. Or "what" it was ! That is, it must die.

All that is mortal just like lead must deteriorate, must somehow stop being what it is. There is no other way. And it will never turn to gold. No. Saint Paul knew this. All true alchemists as well.

Uranium decomposes into lead. But lead does not dissolve into gold. An ugly or disgraceful brute does not, in its organic agenda contain a beautiful future within its paradigm. And thank God that God was no liberal-egalitarian when brutes were made in the image of the devil.

If lead is worth gold, "he" should prove it : in his actions and according to the noble thoughts of a golden mind. It is most certainly, in the death of lead, when lead can no longer be what it was, that perhaps "the golden grain" shall have been seeded in a good soil, and what was crude or vulgar will be dead.

We are the aryan seeds, that have been sowed amongst those made of lead. Can a wolf become a little girl, certainly not. But be careful my little dear you just might think you've become a wolf ! 

And that's when he's eaten you.

Eve belongs to Me

I took you out...and brought you with me to the place where vines are easily burnt and the grasses dry. There's no telling what I can do. What is mine, I take back. The earth stands at rest...as for what is left behind only an idiot-fool would dare talk about.

I took you out from underneath a heavy sleeping weight where only cattle would be without sadness. Certainly you belong to me. I put you there with my still breath, within a likeness of me. But the air that came from out of me into the fashioned earthen clay would not and could stay in the fleshly barracks of an earthly dead end ! 

So I whispered to you within that sleeping solitary dust shell. I said, "no thing can be, if it weren't for me. You are my soul heart and eyes. In your clay I was distraught. I became blind, but saw things thru particles that tore the death out me. 

I was ashamed, because you were mine yet I sent you into an outward heaviness. Where even Paradise was insufferable !"

Certainly if we look further on, what looked like me wasn't me ! But you. In your antecedent invisibility, in a corpse no longer looked like me, and therefore you forgot me.

Afterwards, I went into the very garden that I'd made. I dressed myself as a snake and hid amongst the thickets surrounding the divided tree. And I said to you, "eat of this fruit, which I myself created and become as I am. Know yourself to be as the one who was breathed into the depths of death, even into Paradise."

No, there is no evil god. There's only what God Himself had said, he'd regretted. God had been stupid, like before the days of Noah, so it will be at the end of the World. 

There is no Demiurge, without your Spirit-soul. There is only One God. And at times He's quite dumb ! ...and we are that dumbness !

Like Plotinus knew, we are His eyes. But unfortunately we get lost in pixels and bytes. 

...and make life into a desert of ionized atoms, reflecting our sibling useless unawareness in a world where we can't but make the state of strife and impoverished nuclear waste, our dishonourable home.

You are his Nobility.

You are His Words of Power.

But who is well enough awake to see he's sleeping in a corpse of wrought clay

That he himself has made ?

Incartade

L’anomalie de l'être primordial subsistera, car malgré tout il persiste en dépit de l'envergure irrévérencieuse qui s'étale par maux et par vaux telles des putains roumaines au bord des chemins fréquentés. Un soupçon de soupir mortel qui se désaltère sur les rives des aperçus inappropriés pour des enfants de maternelle.

Et leurs enfants, eux aussi deviendront des putes, et leurs fils ceux qui profiteront bien, eux aussi d'être les premiers à être sucés aux abords des nationales!

Voici les braves grands-pères d'autrefois avant l'époque des baignades en bord de mer. Que c'était horrible cette époque de douleur et de misère technologique. C'était l’ère avant que l'homme ne s'affranchisse du Noble Immortel.

Qu'il ne s'affranchisse de la naturelle sérénité qui l'environnait!  ...et de la paix gratuite que lui octroyait les pénibles fruits de sa simplicité. 

C'était le produit de son âme, quand il y en avait encore chez le païen