mercredi 23 décembre 2015

Here's to You, Jesus


A star must rise in your heart,
and then strike you with lightning!
















Here's to you, Jesus!

While mortal men explain away with their mortal brains what they have seen and heard,

with their mortal eyes and death's ears.

In a world, where all that comes together, falls apart.

In this sometimes ugly place among those who are ugly.

Seeking haven in the heart's pith! Loving only Beauty only to mock those who deride. 

Heaving aside into God's abyss, the stupid evil petty crowd of cowards. 

What a seemly show of pretentious skill! ...wherefore, the untarnished mathematical boredom, infiltrating and invading obnoxiously, the breath of babes


The Lord of all Being and Awareness is Alone.

...and the lonely shuddering on the dust heap of all of mankind's conceited historical deceit.

One or more calamities for the vain mind.

Another strident ripping in the soul's orifice of simple emptiness.

Come! ...let us drink together ô Christ, my fellow friend.

For tomorrow You and I must battle to the very confines of a filthy world which would parasite our vital and august awareness. 

A toast then, and only to Beauty, and to the rest, condemnation.


How the True God rewards the deceitful and the apparently innocent.



lundi 7 décembre 2015

let the wolves come to me


Let the wolves come to me. I will speak with the forest, watching the wind flow between and in the trees : it tells the holy creatures : teach your children to honor nothing that hasn't any life, and to thank the animals for the flesh they have on their plates. Teach them how to make a fire, how to follow the boar's track, to lie down in the warm earth where they slept the night before. To recognize in the buzzard's flight, why he turns at a certain instant in the sky, not because of air flow but because he calls the rain to the mountains. Hearkening the replenishing of the Spirit's source.

My sons can stand at the edge of any cliff, like mountain lions they can climb any steep slope : they never tremble neither in the tempest's cold, nor at the top of any water fall. 

They are fearless!

We can speak with wolves. The fox and the snake stop to say hello. The wild boar in the middle of the night watches over us!

My sons have piercing eyes, yet kindness thrives in them.

And it hurts to be real men in a throng among human lies and the innate deceit of all worldly affection. But we know how it is to laugh together! Among our own kind. 

They have become awesome men. 

They will never bow in front of the world's filth.

If not, they would no longer be my boys, but the social consequential aberration engendered by a devious farce.


In our blood is the fierce soul of our Spiritual Ancestry!


to Sylvain, Emmanuel and Elie!

dimanche 6 décembre 2015

Vamachara et Dakshinachara, Mais où est l'Agartha ?


Ha-ha!
C'est quoi ta voie?
De quel côté viens-tu?
Laquelle des 2 t'est permise?

Il y a un abime dans le coeur qui s'appelle l'Agartha, mais peu du monde en connaisse l'accès!

Ils le cherchent dans les collines dans le Midi de la France, à Bugarach ou en Inde, sur le Mont Shasta ou à Pondicherry. Ils croient que Shamballa est un pays quelque part sur la Terre ou dans son dur intérieur. 

Et c'est vrai, et c'est faux!

Pour beaucoup ils souhaitent préserver la coque ou qliphoth des choses : la Terre du dehors, son décors et sa délicate précarité!

Dommage, pour si peu qui nous quitte avec tant de facilité. Dommage que l'homme quelqu'en soit son Âge, soit aussi con  aujourd'hui qu'hier que, hélas demain!

Dans l'Oeuf de l'Âme intègre réside le remède de notre décès, sa "luminosité" croit à l'échelle de l'Eternité.

Man arafa nafsahu arafa rabbahu.................

...du Haut de toi-même la foudre scinde
et incinère ce qui t'est pernicieux.
Et l'éclair pourfend ton soufre
te nourrit l'asbestos.

Vois-tu, tu es celui qui adore Dieu
et ce parèdre qu'Il ne possède pas!

Ne pervertis pas tes voies avec l'indécent.
Que ton oeil reste pur
et ton âme, une fidèle épouse.



Tiré d'un Tas d'Os et de Poussière



Il est certain que dans la fabrique substantielle de l'air qui nous pénètre et nous entoure, respire une daïmonique delusion, sournoise certes, qui est consciente ou semble l'être et saurait par son propre engin, provoquer une espèce d'apathie perturbatrice remplie d'un pathologique amour du Rien, et qui cherche à dénigrer miner et/ou détruire par tout instant et à tous moments dans tout lieu, le candide oeil de l'innocent, la transparence dorée et nimbe émeraude qui couronne le chef de ceux qui sont "JUSTES". 

L'apathie est l'état d'être de celui qui n'a pas "d'animo"! Il lui manque même l'énergie de faire de véritables bêtises! Il prend sa paresse ou indifférence pour du détachement. Sa négligence personnelle apporte ruine et déconfort auprès des siens(dommage qui de sa part n'est pas voulu, n'est pas intentionnel, mais qui tout de même dérobe de dessous) ne voyant pas que de creuser, peut-être un peu, même beaucoup, dans la terre de soi-même, révèle qu'il y ait une terre sainte enfouie dans sa carcasse! Et qui se moque de son APATHIE arrogante!

Il se vautre, plutôt, dans la boue de ses échecs comme si cela le rendait plus admirable. Quand terre et ciel s'abiment il n'assure en rien l'espoir d'un autre, et l'ennui de sa propre nature qu'il ne connaît toujours pas, le dévore du dedans et clame qu'on l'aime en dépit du... et que cela soit dans les égouts parmi les misérables que la haine engendre. 

Vaut mieux aller plus loin que "le cimetière" de tes collègues si t'as envie de gratter un peu quand même, si ce n'est le vernis de la façade de ce qui recouvre la poussière sous tes pieds! et la moelle de tes os!

Si tu creuses et tu ne trouves rien, c'est qu'il n'y a rien et tu n'es pas "DOUBLE". 

Dieu t'a retiré l'âme. 

Et c'est que, surtout, Dieu ne tient pas compte de toi! Cela Lui est égal. 

Tu n'as pas encore mis le paquet, et tu n'es en rien, un initié. 

Koufar!



Il y a une différence entre le 3ème et le 4ème
que tu ne connais pas encore,
quel dommage!
Jette ton livre, brûle-le vite,
entre dans le Royaume des Innocents!

Ou sinon, creuse, creuse et creuse encore
Pauvre cul-de-jatte!






samedi 28 novembre 2015

ad hoc des Balivernes






Sûrement l'eau de l'âme rhabille le corps faible froid et nu. Sa mince densité rallongée par la perspicacité du Ciel imperméable qui surplombe et sonde l'abime de tes reins pleins de pisse.

Tu insistes. 

Et pourtant tu n'iras pas plus loin. Le cervelas dans ton crâne se fige, friable et mol. Que pensais-tu? Que vraiment, tel que tu étais, ça y est, c'était fini et définitif. Que tu étais au comble alors que tu es incomplet! Scindé en 2 par la foudre. Maudit par ta stupidité dont le torse qui penche à quitter péremptoirement la désuète rectitude, dévoile l'imbalance de ton âme animale repue de sang et de chair à vers, saturée d'eau forte et du marc! Rejeté des êtres célestes, la semelle de leurs pieds lourds ébauchent sur le revers de ta face, la route translucide dans ton échine. On dit qu'il y a un arbre qui pousse robuste, plein de force, mais seulement en ceux qui sont vraiment "doubles". Pour les autres, il ne faut pas rêver!

Hélas pour la vanité de la cause des hommes il n'y aura pas de conséquence majeure. Dieu est seul devant et par delà son immensité! C'est Lui qui double en perfection l'ingrat orgueil.

Es-tu vexé enfin, d'être de travers et de faire pitié auprès des autres éclopés qui te font des louanges? Aimes-tu tant qu'on te le tartine? ...les lambeaux de prétention qui te gluent la peau de ta rancoeur à la pâte de ton esprit infertile.

Mon pauvre ami d'antan....je te délaisse et que tu crèves même seul, s'il le faut! ...pour que tu deviennes enfin une âme sans égale : belle, noble et débarrassée de ce qui susceptible de pourrir, se meurt, en ferment.



Ou sinon, tel que tu es, tu ne vaux rien à mes yeux qui adviennent empyréens, du domaine des Coeurs!

L'infecte, l'abject, le fétide et le sordide n'ont pas d'oeuvre ici.
Ecrase ta méchanceté. Martèle la fastidieuse petite personne en toi. Je te donne la sève de l'inépuisable remède.

La fierté personnelle! 



De ce qui est Laid et de Ceux qui Difformes le Cultivent



Abandonné de ce qui est divin dans sa nature intrinsèque l'homme fourbe, malhonnête et de règle, avec une estime de lui-même construite sur un socle de mauvaise foi persiste dans la voie de sa perte suressentielle et de ce fait, se laisse séduire par une certaine qualité pernicieuse due à la disposition corporelle qu'il fait naître de son propre chef, au Monde. La couronne frontale de l'homme imbécile, démunie de l'éclairage céleste ne lui octroie que la déchéance génétique, ou la dissonance cognitive, et avec le temps il s'abreuve du fiel et de la fiente des moeurs contemporaines et pour l'entretenir l'homme difforme se noie dans l'alcool la drogue et l'obsession de sa profonde futilité métaphysique qui l'écrase du regard.  Cette semblance d'un homme ne mérite pas l'appellation d' humain ni d'homme.

La haine de lui-même lui fait vivre d'après sa déformité morale, ou aspect extérieur, dans la haine et le mépris de l'autre. Il se dit être une merde, le dit des autres et donc porte une atteinte du principe à l'Image que la Divinité aux origines eut tant de soin à façonner. Il subsiste au quotidien, psychologiquement dans la verbale expression de la moquerie, et par subséquent le détritus purulent de ce qui lui reste de "conscience", convoite et hait la beauté qu'il ne peut en aucune sorte incarner ni au plan astral ni physiquement. Ni par conséquent spirituellement. Du coup ce qui est laid devient la règle du comportement de l'individu aux tares psychiques et esthétiques et sa vie par un reflet pervers et amoureux d'elle-même va faire l'éloge par devers sa retorse exemplarité cynique mise en exergue, de ce qui est déchu et de cette laideur qui a fortiori l'assistera dans la poursuite de ses appétits qui rendent esclave ou parasite! Ou pire, déforme.




Quelle abomination intellectuelle et morale. Que c'est ridicule que de haïr le beau. Cela démontre la nature frustre de la personne qui porte tellement de rancune envers ce qui lui est supérieur par sa nature altière! 

Mais comme on le dit et le redit si souvent, nous sommes en Kali Yuga.  Cela n'explique rien bien sûr, et ne justifie rien! Mais cependant le temps des hommes révèle l'inadéquat espace et l'hygiène réelle des lieux actuels où l'humain décadent prolifère si vain parfois. Il insiste pour être au rang de l'ange dans sa compréhension des choses alors qu'il exude la putréfaction, et maintenant il défèque tel un chien dans un parc. 

Pourtant son corps malgré sa grossièreté, abrite une gemme d'un éclat rare. 

Mais pour qu'il en prenne conscience, il devrait délaisser l'abus moral de lui-même et piétiner les enfers des tendances qui sclérosent la viatique céleste. Vaincre la mauvaise foi inhérente à l'amour de sa laideur embellie, et surtout arrêter de jubiler dans les vapeurs aériennes de sa méchanceté irrépressible. Qu'il ne sait toujours pas, contraindre!

vendredi 27 novembre 2015

The Ant Hill


The boy took a bucket, filled it with water but slipped and dropped it. 

How horrendous, all that water that flowed out!

On the sand near some dry clay where there were ants, climbing and clinging to a little earth hill, big enough to fill the hands of any unwanted nephilim, the water disintegrated in the wink of an eye, the very foundations of the very important ant village inside the little hill.

What a sight : all those ants, drowned! Disappearing amidst aqueous waves. Of water. 

Astrologically, it was all meant to teach them a lesson. Astronomically the stars in the night sky, existed only to tell them, they were not capable of foreshadowing such an event.

They were stupid ants! Incapable of empiric understanding, and thus of spiritual foresight; ô God forbid!

Certainly, their very belly buttons were the universal axis of all cosmic and living virtual things. Surely one day the ants would wake up to an universal comprehension and a certain cosmic consciousness? No. 

The young boy, picked up the bucket and went back to the sea. He said to himself : this time, I'll be sure I won't drown any ants! What for? They didn't do anything to me.

Mum says, when their in the kitchen. Have to get rid of them. 


jeudi 19 novembre 2015

La Preuve que Cela ne m'est pas Egal : de la Rhétorique dans tous Genres





Trans-endémique. Pan-déblâterer! Incubes de l'esseulé assisté subventionné et acheté par l'état d'une victime du totalitaire. Larve sans paroles ni viril regard : homme amorphe, golem et totem produit du trivium de l'éducation universelle! 

N'importe quoi n'importe quand, ...n'importe comment! Une crapule se reconnaît tel de ses frères! Pleut-il? Sommes-nous à l'abri? Le mirage ecto-plasmique engendré par nos rituels séculaires est à couvert. Debout et à l'ordre mes bien chers et tristes vaniteux golems. Qui et par quoi est compromis, l'Orient. Où est-il alors, notre Zénith des manes déchues? Qui est celui maintenant qui habite notre astralité, que sais-je quoi donc qui voit dans nos yeux. L'on nous a donc éclipsé le regard. Éloigné de nous-même le nôtre du regard. 

Qui soupçonne la présence de celui qui veille en nous. Qui veille donc là où tu vois? C'est désormais le nano carbone qui vous gagne, le dessus! L'esprit ne s'est même pas débattu. Même pas du combat. Aucune rage du Juste! 

Pas la moindre colère.

...que l'Amour c'est l'Amour : que d'Amour!

Le travesti de la rhétorique, son modèle, le mode de procéder à une élucidation de thèse tactiquement placée entre deux tambours; de convaincre autrui de ce dont on n'est même pas si sûr, sinon quant à la manière dans la parade des protocoles reconnus en tant que tel idéal fallacieux par personne. Une allocution travestie dont on distille à feu doux le fiel à travers et par des discours d'inanité!  De la ferveur, limpide comme du venin.

Le rhéteur flatte l'opulence du vide qui ressert encore et encore une fois de plus la coupe avide de paresse, et complémente l'infatuée audience pleine d'incrédulité naïve. Il y a combien d'orgueil qu'on évacue par le bas étage! Pour combien de temps encore, vénérera-t-on l'insincère mauvaise foi dans tous genres et de tous genres. On paye son tribut à la déité que l'on honore de souffle et de hargne. N'est-ce pas vous mes amis malhonnêtes, ceux qui sont les coupables de l'Être transi par la peur, des êtres et de ceux qui ne sont pas encore là? Coupables? Coupables? 

De ce qui arrive de la part...de ceux qui sans fierté, sans esprit, pas du tout indignés de notre ignoble passive immobilité? 

La rhétorique est une garce mercenaire, une meuf qui défend le couard, le lâche, le fourbe. 

Sa colère y trouve toujours le vraisemblable, la semblance de la ressemblance, l'à peu près qui vise juste le recoin replié où le vantard envieux patiente, toujours à ne quêter que du gain et l'applaudissement de sa mise en scène pleine de verbosité, qui portera le coup fatal pour ainsi dire, ensuite nous donner droit à la belle-laideur de la pseudo-démocratie et un laissé-passé aux grandes surfaces de nos chers capitalistes-libertins! 

Certes seul un individu jaloux pourrait succomber au charme du rhéteur infâme. 

Ce sont des esclaves qui admirent l'esclave.  



Salut à toi ô fils des Meilleurs Hommes,  aristo élu du Ciel.
Hélas le peuple qui était borgne ne t'a pas mérité.
Et en Dieu,  tu a été reçu!




le glissement des plaques tectoniques





Le glissement du plan, de ses continents qui voyagent à la dérive et ne se rencontrent jamais, inlassables dans leur direction immobile. Une croix les fige, les immobilise implacable avec sa rigueur qui persiste imperturbable. Comme des grains de sable qui s'écoulent sans arrêt, ne remplissent à jamais l'aire des attentes où l'Être façonne et retouche sans se lasser tel un Dieu qui en dépit de ses travaux culmine l'effort de son ardeur devant ses propres yeux fidèles! Heureux de hisser le tout comme un trophée que seul avec lui-même il peut remporter, puis admirer. Dans l'arrière scène qu'il mis tant de peine à accepter.

Jadis, sa vision jubilait. Son regard personnel sondait l'inéluctable. L'abîme lui fut loyal. L'âme était au repos.

Ni la sagesse ni non plus la moindre manifestation d'idiotie n'était pourtant à son égard, perceptible. Un Âge pour un autre et encore, dans l'Eternel intemporel, la mécanique disposait en son opération rituelle, continue l'inévitable flux selon et d'après un principe primordial. 

Qui a retenu mon regard. Qui peut contraindre mes souhaits?

Le coeur conscient défie toutes les prémices contraires. Le combat de la chair prédestinée s'offre passive. Les ondes sont des courants mis en oeuvre, prévus par les parois de l'esprit intellect : leur démarche je l'ai vue se heurter contre le battement des poitrines que je crée.

Hélas tel est le sort des issues escomptées, tantôt je me retire et je me ravise. Je mets tout en question sauf ce vent qui parfois souffle à travers chênes et peupliers qui dépourvus de rien espérer ne lâchent pour rien leur verdure fanée.

Les continents fuient vers le pôle. Ils désirent avec la totalité de leur mouvement terrestre le sommet. Néanmoins l'axe de leur trajectoire stagne l'agression du grossier.

Belle étoile. Au-delà de l'hideux. Maris stella, guide le pilote, audacieux qui vogue dans l'immensité stellaire sur ce notre terre accidentée!

Le soleil cache quand il se lève, le vrai. La lumière de ce Monde est une ténèbre dont l'opaque voile aveugle l'oiseau des purs. Le soleil construit et détermine toutes les numériques possibles qui enlacent et s'enlacent sur la surface corporelle des hommes miroités.

Le peuple qui m'appartient se débats! Et dans le trivial se régale de ses turpitudes harcelantes! Jamais fatigué de sa clameur et de son arrogance. 

Debout je suis intrépide, imperceptible.

Le littéraire, le politique le scolaire et le laboureur courent indulgent de leurs pensées narcissiques vers le précipice du leur néant inventé. Continents de calamité. L'impuissance étalée sur la table sacrée de leurs aïeux respectifs. Spectres d'un fantôme civilisateur en ruine recouvert de gloire et de hantise! 








lundi 16 novembre 2015

Oculus Mensae illi dormiunt, Certe Vidor Futis!











J'ai vu des frères se faire attraper par l'ennui de l'être, devant la frontière juste au bord de l'abyssal précipice où se tient la mutuelle inexpressible horreur de l'absence d'âme de ceux qui cherchent du bon temps, là où les hommes et femmes meurent sans savoir qu'ils meurent et sont morts! Sans savoir s'ils ont même respiré un instant avec conscience ou vécu déplorables et usés comme des sièges inusités de bancs aux arrêts de bus! 

Incroyable indécence. Incrédule cécité et colossale stupidité! Gâchis d'exister! Futile vie. Les larmes de ceux qui vivent autant d'inconscience qu'à l'instant imprévisible d'une mort inespérée lors de la mort, vécue sans qu'on s'y meure, avec au moins cela même qu'on perde! 

Catastrophe manquée. Ineptie de l'intellect envers sa chance d'être.......dommage, 

...les rideaux de notre monde de chair d'hypnose et de vaine gloire, se referment, les yeux impersonnels de ceux et celles de se clore, ayant cherché à leur insu une intime collusion frivole avec le néant implacable de l'appétit inconditionnel des ensorcelés! 

Hélas, le glas sonne. La nuit fait place au jour. L'intrépide déambule sans crainte en veillant sur les siens. 

Il y a un lieu dès lors qu'on traverse le Styx, où toute idéologie ne vaut que la terre sèche qui habite nos caveaux. Ô l'homme, qu'il est con et misérable avec sa carcasse impuissante, tant qu'il s'y attache dans la présence de ce qui l'élude.

Peut-il compter sur autre chose que ses propres fantasies vitalisées, le jour, quand il n'y plus de jour de ce côté-ci de ses prétentions?

Le profane en dépit du tout, poursuit obstinément la Vie qui en fuyant recule.  Mais la Muse des Egrégores nourries par le souffle de nos méditations sincères, nous accompagnera à travers embûche et complainte dans les sentiers qui accordent victoire et paix aux guerriers réchappés des rues aux lumières glauques et inhospitalières pour ceux venus du Ciel.




samedi 14 novembre 2015

Amicus Dei




Tu seras bientôt prêt pour passer dans les failles ou entrailles d'un certain monde que tu supposes exister! ...d'entre des sphères concentriques non-euclidiennes. Accompagné de Dieu et seul avec tes opinions, à ce que je vois, de la frioriture à base de polymères disrupteurs.
  
Le Monde est un flux : un flux et/ou reflux perenne. Eternel dans son sein, prisonnier de ses propres motifs préétablis.

Le spirituel n'a que faire, des mots ou des manipulations caressantes qui hantent ceux qui ne sont point intrépides. L'esprit habite la mécanique psychopompe. Puis s'échappe!

Islamophobie ou soi-disant antisémitisme, du PQ pour les fesses des somnambules cybernétiques qui imaginent une perception comme la leur et qui leur a été inculqué par ceux qui dirigent sans grand doigté, la boutique mondiale des lettrés du supermarché.

Les Amis de Dieu sont mes amis, pour le reste je n'en ai point. Espérons que mes 3 fils en fassent un jour, partis. Car au Ciel nous serons comme des anges, ou nous ne serons pas!

Le langage est seulement un instrument chétif parfois utile, le plus souvent nuisible. Il sert l'esprit ou l'ordre pragmatique, sinon je m'en torche même pas le cul! 

Le corps tel qu'il est, est heureusement mortel, de même que l'inférieur psychique. 

Soyons des hommes, le temps qu'il faudrait. L'esprit, le spirituel apporte le sens de l'être, son éthique, sa noblesse et son altière indifférence envers le Monde des mortelles inquiétudes ! 

Nous gardons nos perles précieusement auprès de nous-mêmes : désormais j'élude les pourceaux, de crainte qu'ils ne deviennent des chiens et ne me déchirent, .....car il ne faudrait pas que je laisse la grandeur surnaturelle de l'âme comme un appât dans une cage à folles, vulnérable, alors que l'homme qui est vil et qui s'y trouve ne vive que pour la perte de lui-même et des siens et de ses prétendus congénères sans genre!

Amicus Dei

lundi 9 novembre 2015

Pereger Ego Peregrinus Homo








Que cela lui revienne, qu'est-ce que cela peut me foutre !

Les globalists ou la plèbe trouillarde!

S'entendre sur le partage du butin ridicule entre des gens minorés d'avec des jaloux au RSA et ceux qui voudraient passer du bon temps sur des plages au Sud de Nice devant des cocktails de vanité que le petit peuple morose et envieux  envie jusqu'à en mourrir d'un esprit minable mesquin et lamentable sans vergogne... lamentable et déshonoré ou sinon pire n'ayant jamais eu d'honneur ni l'austère regard d'un être aristocrate!

N'ayant ni fierté ni orgueil, on baisse la tête on s'incline et sans prendre son âme à bras le corps, on décline...victimes de l'Immense Sottise de l'être ! Menteurs et lâches qui s'affament après ce que je méprise avec tout mon coeur. 

Où que je sois, je suis un étranger qui par maux et par vaux, suis toujours dans un Monde étrange ou étranger ! Ma patrie est au Ciel de mon coeur imperturbable. Le pervers prince de ce monde ne me pénètre pas, mais je le vois et je le connais : le Christ ou le Prophète ce sont mes camarades. 

Que les borgnes mènent les aveugles. Je leur laisse volontiers les miettes de table. Qu'ils se débattent la première place dans les queues des abattoirs citoyens. 


mardi 3 novembre 2015

laisse-toi ensorceler et bercer par ce qui te plaît, point besoin de persuasion de la part du N.O.M.





Laisse-toi ensorceler et bercer par la chose qui te plaît avec sa mélodie échafaudée, car il n'y a point besoin d'ondes électriques  nuisibles pour orienter l'esprit contre gré, ...mais après tout, ne font que manifester ce qui se dissimule dès ses origines dans le monde de Pakriti, dans les aethers dans leur ombre....primordiale.

Ô là là.........

Les bo-bo t'embêtent bien, hein ? Le N.O.M. avec ses attributs affiliés tracasse seulement celui qui eût été autrefois si bien installé au milieu des couches écrasantes des enfers ! 

...et maintenant autrement que jadis, n'est-ce pas que la pauvre humanité, elle souffre de sa bêtise millésime. 

Et cependant, elle a toujours été le même éhonté collectif qui s'épanche fluide comme de la cire fondue, à la guise des schémas qui depuis des temps les plus reculés, dirigent tous les flux et reflux de tout ce qui existe : tels, dans leur astralité fatale autant de carrés magiques qui en se chauvauchant s'enchêvètrent d'après un inéluctable comptage nombré, et transistorisé. 

Alors que l'homme charnel est une carcasse animée pleine de sang et de fluide mécanique dont la sève interne a déjà été présagé devers le sort tragique qui l'attend, cage astrale. Et image seulement de ce qu'il prétendait imiter !



L'éveil n'est pas une banale chose pour tous. Mais il vaut mieux être le Christ que de l'attendre. Les saints et les prophètes sont des idoles de louange seulement pour ceux qui ont été entubés !  ...ou pour ceux d'une mauvaise foi.

...les prophéties et les livres saints contientent les agendas du demain. C'est avec eux qu'on a embobineé la foule, le pauvre et l'hypocrite !

Et c'est Satanaël qui sait en profiter. 


lundi 2 novembre 2015

Machinations and Mass Indoctrination from those who pretend to be Awakened, hunting in the Conundrum of Maya : The Kalki Post Modern Hoax ! When will the Real Viracocha come !



What ever men may say, buy and sell masking it with New Age Folk bullshit, BEWARE ! All is a methodically calculated delusional and ecologically contrived trap for those who are sufficiently vain and culturally stupid to listen ! 

Awareness is not of a democratic substance, neither is it human, nor shall it ever be. It is not for the masses, their plebeian mind set, because by its mysterious and initiatic nature, awareness is of a supernatural order, and cannot subsist in a realm where mortal men live move and thrive, hypnotically ! It is so to speak, above the surface of the waters of this world, where what many might call reality is nothing but a fish bowl where most everything living in the artificial world, is drowning perpetually !

All the linguistic semantic tricks imaginable are useless in conveying what it means to die to oneself and to what one once believed or knew and then to awaken, free from the cinematographic shackles of any kind supposed, be it red pills or  bleu ones ! 

There is only one friend in life, and he has an incredible name and his name is Death. Death to one's self and to the selves of others. Afterwards, Kalki will come and make a ruin of our races, to restore them to their rightful spiritual lords in their corresponding heavens and hells : the Four elements inspired by One King will flow from the Fours corners of a new Igdrasil. And we who do not sleep will invoke the Furies just before the Good End.

Thesaurizate autem vobis thesauros in caelo ! : Ubi neque erugo neque tinea demolitur, et ubi fures non effondiunt nes furantur. Ubi enim est theasaurus tuus, ibi est et cor tuum !
Matt. vi : 20, 21. 

Nolite dare sanctum canibus !!!(ejus mundum et sui auditorium), neque mittatis margaritas vestras ante porcos(Internet et media tota possidet eius servituti illius subiugavi)....Matt. vii : 6.  

may those who listen, die to their outer social and psychological selves !

Can one really add anything of consequence to those words above, attributed to the Lord Christ. Even the so called archons melt away in the deserts of Walmart, Carrefour and Corte Ingles while listening to some silly pod cast ! God doesn't care about David Icke, Alex Jones or Red Ice Radio.

It is the disclosure of the sleeping heart which at death's summoning will break the magic spell of those who apparently pretend to tell you how it is. 

Thank God !


vendredi 23 octobre 2015

der Übermensch





His natural temperament is beyond all electronically conceivable rapture. There is no humanly imaginable category that could get near to describing what he is. That could possibly embrace, how much he's really just a meaningless or evil thing to the delusionally unkempt. 

He stands above the highest mind, where even the secret conscious heart might and can, went it wishes, loge itself, impregnably. A castle-forteress on a Great Rock, hit by a furious unrelenting wind.

He oversees, watching on diligently, upon the hammer and the nails and their carpentry.  Those "organic" mortal constructs which were made to dissolve into something better to be ordained.  And then, is finally eaten by the tiny beasts that lay hidden in the ruined confines, where augmented termites ingest among the sarin gases, the plastic pixels and the nano-bites in some ideological diplomatic garbage dump.

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Contemplating eternity.

I watch over my self's physical vassal(sic). 

Those who trod the bleak path, and have awakened : they too must hang from their own cross to sway, to and fro !  Frozen and paralyzed ! Trembling with froth at theirs mouths in rage, till anger subsides ! Weeping in the great disaster of humankind.

They too will be hit by great winds and slung into the mud. 

Fear can only invade the cowardly, the liar and those who are too lazy, wondering at their mysterious unjust misFortune ! ...with all its misshaping mishaps ! 

It will hurt ! and you will complain. But now you know. As did Lucifer ! 

We are sacred serpents eating at our own tails. The children of Odin. The anointed ones. Hiding in caves of hollow earth. To be resurrected.

Thunder and lightning flow in our veins. Our invisible friendship is the Living Sacred Spiritual Body of our God, who rips us inside out, unremittingly till, death to damnation and tears. 

There will be no peace till the blood in our soul, crushes all treasons, the traitor and all his dirty goëtic transes !

I have no need for hypnotic slogans. Dont pray. And while I sleep in the earth of my ancestors, God breathes in me.